news poemes !!!!

1 er :il datent de qq jours , que jai retrouvé en rangeant le bordel qu il y a dans ma chambre !
son titre : Stand My Ground ( = tenir bon ) cest aussi une chanson de Within Temptation

-

Stand My Ground

Pour toi c'est le néant.
Adossé à ta fenêtre ,
Allongé sur ton lit,
Recrovillé dans un coin,
Assis seul(e) sur un banc.
Tous en quête d' une nouvelle vie.
Les mêmes idées de néant,
chaque jour elles te rongent.
Les larmes sont là ,
Les murs s'agitent,
Les fers renaissent,
ils sont là à l' appel du néant.
Aucun jour , ne sera capitulation.
Le combat peut durer des années,
mais la victoire est au bout.
A présent chacun de tes pas est sa perte.



-------------------------------------------------------------

2 ème plus vieux il date d un an :s


Fall

Les murs résonnent ,
Les fers chantent de vive voix ,
Les mois s' écoulent,
Les liquides coulent,
Le mal se répand.
Ce sourire qui ne change pas,
Le mensonge qui n'en finit plus.
Toujours plus de défis,
Toujours plus loin,
Près de la fin.

---------------------------------------------------------------------

cest seulement une sélection de mes poèmes ! il y en aura d autres plus tard quand jaurai ltemps d écrire !

un vieux poème encore mais jlapprécie encore

Une douce mélodie retentit dans le noir ,
Ces notes de l’ espoir ,
Qui crèvent la solitude .
Tu renais pendant quelque minutes ,
La musique c’ est la seule issue.
En silence , tu rêves d’une vie meilleure .
Ces envies qui veulent s’ exprimer ,
Qui tuent ton esprit .
Des paroles qui te rappellent que l’ espoir existe …
Les heures qui passent ,
Les yeux qui se ferment de fatigue .
Demain est un autre jour ,
Mais un combat de plus contre la vie .
Il n’ y a plus de pause ici .
Un seul souhait le voir partir pour l’ éternité …
Mais cela est impossible ,
Cette envie est intérieure , incontrôlable et ancrée en toi …

AO

----------------------

ce nest pas de moi , zoreille la poetesse
dautres de ses poemes ( les autres dates aussi !

voilà un dernier qui date , le tt dernier !

Rêve.

J’ai rêvais d’un monde tout en couleurs,

D’un monde rempli de jolies fleurs.

Un monde pleins de senteurs,

Avec des milliers de saveurs.

D’un énorme soleil dans le ciel.

Qui rempli les yeux d’étincelles.

Mais c’était des rêves d’enfances,

Des rêves remplis d’innocences.

Où tout est gai,

Ou on ne sais pas encore pensée.

Un monde qu’on ne voudrait pas quitter,

Pour ne pas devoir affronter nos pensées, dur réalité.

Parce qu’après l’enfance,

Vient l’adolescence.

La perte de l’innocence,

Le début des souffrances.

Se sentir différente,

Supporter les regards, les paroles méchantes.

Puis prendre conscience,

Des difficultés de son enfance.

Des chagrins qu’on aurait voulu calmer,

Mais des câlins auquel on n’a pas pensées.

Début de transparence,

Début d’errances.

Pourquoi se sentir rejeter ?

Pourquoi se sentir oublier ?

Pourquoi ces rêves étranges

Qui finisse par vouloir devenir un ange.

Etre trahi,

Vouloir rejoindre le paradis.

L’effacer de ses pensées,

Vouloir encore exister.

Mais le passé resurgit toujours,

Qu’en il est enfouie, il reviens un jour.

Tout est bien gardé,

Mais c’est des lourds secrets.

Tant de choses non dites,

Une vie détruite.

A devoir tout garder,

On ne sait plus pleurer, on oublie d’exister.

Mais l’esprit est malin, il sait comment dire.

Par les maux, il fait ressortir.

Mais les pensées ne sont pas vidées.

Et nos idées finissent par nous torturer.

Ne plus vouloir vivre,

Vouloir toujours mourir.

Mais les cicatrices sont là,

Et jamais cela ne disparaîtra.

Invisible, elles s’accumulent avec l’âge,

Visibles, elles soulagent.



Alors pourquoi grandir,

Si c’est pour souffrir ?

J'aime bien tes poèmes, parfois je suis dans ce cas là, dur la vie

enfin une réaction

mci

ouep la vie est dure , mais aucun mot dans le dico n existe pour l exprimer aussi fortement .

jai trouvé des anciens poèmes encore ! là cest un nouveau fait en trois jours et fini hier soir !
bon bah bonne lecture à tous , même ceux qui sont flemmards à l' idée d ' appuyer sur le bouton répondre ;-)

----------------------------

Fight


Aujourd'hui,
la guerre a cessé,
le champ de bataille deserté,
le sol jongés de corps.
L'espoir a perdu le combat ...

Noir est le ciel.
Là est assis,
une personne abandonnée,
culpabilisée par ce qui l' entoure.
Elle garde sa tristesse au fond d'elle.
Elle Cherche la vie et essaye de reconstruire.

Des années plus tard,
la vie reprend,
le monde est reconstruit,
la guerre est oubliée.
Mais elle, n' a pas tourné la page,
elle est détruite,
anéantie,
déchirée.
Elle exprime cette tristesse de milles façons.
Personne ne la comprend,
ses gestes paraissent déplacés,
mais c'est la seule expression de sa souffrance.
A présent elle ne connaît plus les schémas,
seul le lendemain compte pour elle.
L' épreuve contre le néant est quotidien.

Dans cette âme anéantie,
elle cherche l'espoir.
Chaque jour elle mène son combat,
elle puise une force inimaginable,
mais les épreuves l'affaiblisse toujours.
Sa vie est une quête perpétuelle du bonheur

(encore un titre de chanson de within temptation pr ceux qui connaissent!)


un nouveau poème , réagissez plz mci



Forsaken


Dans ton monde ,
les fleurs sont flétries ,
l' espoir agonise ,
le soleil saigne ,
les oiseaux chantent une mélodie monotone .
A qui la faute ?
Là , il règne sur ton monde ,
il t' empêche d' y croire à nouveau.
Comme si tout est fait , pour en devenir esclave .
Tu chutes ,
la vérité qui inquiète ,
les soupçons qui tuent ,
les sommets que tu n atteins plus,
les sourires timides ,
les mots qui peinent à sortir .
Tu regardes le ciel ,
comme si les miracles existent .
Des pensées contradictoires t' envahissent ,
tu peux être égoïste et funambule ,
ou ,
u peux ne pas l être ,
mais devoir l' accepter ,
le contrer.
A présent , tu seras toujours seul(e) à le combattre ,
mais jusque quand ?
à quand son départ ?
ou simplement ça sera ta chute .

Elle disait : « Maman je t'aime »,
Quand sa mère s'acharna sur elle,
Délivrant toute sa haine,
Sans se rendre cOmpte des séquelles.

NOyée dans l'alcOol,
Epuisée par la vie,
On la disait fOlle,
Dans sOn quartier pOurri.

Sa petite fille innOcente,
Ne cOmpris pOurquOi,
Sa mère aussi viOlente,
L'a frappé avec autant d'effrOi.

NOyée dans l'alcOol,
Epuisée par la vie,
On la disait fOlle,
Respirant son agOnie.

Un sOir, sa mère avait trop bu,
Elle attrapa son enfant,
La frappa cOmme elle pût,
Avant de s'effOndrer agOnisant.

NOyée dans l'alcOol,
Epuisée par la vie,
On la disait fOlle,
Avant qu'elle quitte cette vie.


© by tOrkA

Seringue plantée,
MOment d'euphOrie,
Instant rêvé,
EvasiOn de la vie.

COma éthylique,
TrOp fOrte dOse,
Cas pathétique,
Elle mOurra d'OverdOse...

© by tOrkA

C’était en hiver, le froid envahissait son cœur,
Seule, avec son enfant, elle ne cessé ses pleurs,
Dans ses yeux se reflétait la tristesse,
Ses larmes coulaient, pleine de détresse.

Elle vivait avec cette douleur infâme,
Chaque jours, elle avait besoin de sa came,
Pour sécher ses trop nombreuses larmes,
Et détruire un peu plus, son âme.

Quand, un jour, elle décida d’en finir,
Dans un élan de précipitation, prête à partir,
Elle dit à sa fille : « Je ne peux plus souffrir,
Je t’aime mais je dois mourir ».

Elle planta alors la seringue dans son bras,
Injectant le produit du chemin de l’au-delà,
Ses yeux se sont fermés doucement,
Serrant très fort la main de son enfant.

L’enfant ne comprît d’où venait ce sang,
Se réfugie, alors, dans les bras innocents,
De sa mère, très loin, maintenant,
En disant « Je t’aimais aussi, maman » …

© by tOrkA

Une petite fille, à peine âgée de 8 ans,
Cherche, en vain, la trace de ses parents,
Elle survit, seule, au milieu de tout ce sang,
En espérant qu'un jour, la misère change de camp.

Son pays est en ruine, complètement émietté,
Par toutes les bombes, les obus qui ne cesse de tomber,
Le ciel est si assombri par des nuages de fumées,
Il ne lui reste que le courage d'un peuple noyé.

Soudain, c'est la panique, une bombe vient encore de frappé,
Un homme noire prend la main de la petite fille effrayée,
Il essaie de la protéger en la serrant fort dans ses bras,
Et pour ne pas qu'elle voit le massacre que subit le peuple ici-bas.

Un obus heurte l'homme, la petite fille est propulsée,
L'homme à terre ne bouge plus, la fille a peur, elle est paniqué,
Dans un élan de frayeur, elle essaye de se lever,
Son sang coule le long de sa tête, elle est blessée...

Sur les joues de la petite fille, coulent des larmes,
Elle sait que bientôt va s'envoler son âme,
La lueur de l'espoir dans ses yeux,
Va bientôt s'éteindre, elle va rejoindre les cieux,
Malgré la misère de son peuple, elle voulait rester, même au milieu du sang,
Mais le destin manipulé par les hommes en a choisi autrement ...

© by tOrkA

ça vous dérange pas que je lise tous ces poémes plus tard ?

trop long...

mais gg kan meme

Poème écrit hier soir

Tuez mOi !
Attirée par le néant,
Je m'en vais sur une rOute artificiel qui me mènera à l’éternelle.
Amnésie partielle,
TOn nOm me revient,
Rêve sensatiOnnel,
Tu étais parmi les miens.
S’envOler dans les astres,
Brillée au milieu de l’univers,
GOûter au bOnheur éphémère.
PardOnnez-mOi,
SOuffrir Ou mOurir,
Je vOus aime,
Mais mOn chOix fût de partir…

by tOrkA

Hmmm GG torka, tes poemes son tres zolis

Bisoux

GG a tous

ty

Jouant des riffs psychedeliques , sur des guitares desacordées
un tapage nocturne provenant de neurones surexités
Par une substance nan identifié originaire de la folie
un verre d'absinthe et puis s'est envolé
Johnny m'avait dit qu'on y voyait des anges en robe bleuté
trinqués avec le diable dans ce fluide verdatre
Createur de ce melange sacré distillé par les songes abstraits de ravissantes odeurs
Strictement reservé à ceux qui veulent rever
un autre verre et puis s'est envolé
il l'a payé comme une prostitué ,
sa lola , jeune damoiselle aux yeux verts , à la robe en plume d'aigle
sa loving substance qui remplace le monde en une gorgé mais qui vous detruit à jamais
La femme de sa vie était un liquide , en symbiose il vivait
De delires skyzophreniques à la mutilation physique
A flot , elle coulait dans ses veines
on cherchait le sang dans sa liqueur
encore un verre ...
Johnny avait atteind les somnomes sexuelles grace a cette elixir idolatré , le septieme ciel cerebrale , la masturbation mentale , l'erection illusoire
...
enfin la memoire atrophiée et le foi contaminé
un verre en trop et puis s'est envolé

Good bye Johnny


© by tOrkA

Sur le viol ...

Allez danse, fait tourner les têtes et les bières, mon ange. Au comptoir on t'appelle l'âme bleutée car avec tes longs tulles tu nous fait virevolter, petite bulle, grande comme le ciel, tes yeux aux couleurs de l'absinthe nous assoiffent tu pétilles ! Et à chacun de tes regards, nos verres se vident et les mégots s'entassent, tu consumes nos corps jusqu'au cendre, jolie pétale, tu sens la rose, la rose des taz, tu t'assois au fond de la salle, avec ton marchand de rêve, dealeur, tu consommes du crack. Parait qu'après : ces hommes obscènes tu les vois plus, tout est plus fluide, tout est plus intense, ailleurs, j'attrape ta jambe, j'entrevois ton string noir, car tu n'es plus vierge,décadence... plus douce, tu les domine mais eux te frappe ... tu croyais devenir fatale... jolie brune... mais tu es comme la brume : tu t'évapores avec le jour. reine de nuit, rêve toujours... jaillit, ils t'assourdissent : allez jouit ! tu finit nue sur une table, ton corps transpire, avale ! les paillettes de la sueur tracent tes courbes, ils te versent du champagne et te lèchent, toutes ces langues, toutes ces mains... ils te font tourner, le vertige t'attrape, ils t'étouffent, te pénètrent, allez jouit ! tu simules l'orgasme, tu caches le mal... t'aurais du prendre un
autre cachet, tu pus l'alcool, la brute... oublis l'odeur sucrée et tu demandes quand ce sera fini, ta vision est floue, jetée contre le sol, délaissée, les bêtes sont rassasiés, allez meurs, mon ange...


© by tOrkA

rho gg encore

=) hihi ma biographie xDDD lolilou

La tête sur la cuvette d’un chiotte, d’un chiotte sans propriétaire momentané, car celui ci ne sait même plus qui il est, submergée par des pensées anciennement alcoolisées, mais vidée quelques minutes de son existence primaire dans cette grande maison ravagée, maison qui subit les crises et les révoltes d’un âge sans repères dit on… mais tous les âges n‘ont aucun repères. Voici venu le temps des cuites joviales de la jeunesse, jeunesse adepte du spleen sans idéal, et des rails de cock, la jeunesse c’est de voir la vie à travers un verre de vin, de la sniffer en poudre par milligramme et de s’exploser les tympans avec des musiques dérisoires, irrésistible idée que de ne plus être originale, ce qui est rare n’est plus… Voici venu le temps d‘un voyage fatale, une frontière entre l’enfance qu’on dit innocente et un statut d’adulte qui regrette ce qu’il n’a jamais eu, et pourtant la poudre, l’arme du rêve, et le rock reste, oui le sable hallucinogène de notre océan de vagues enivrantes.
Ou simplement de notre bocal. Reste. Nous les petits poissons… l’hyperbole d’un monde qu’on exige, je suis une arme sans balle, les armes sont dangereuses paraît il… la balle est dangereuse, l’arme le devient… un cachet sans effet, un cachet d‘aspirine ne fait rien, un cachet d‘extasy te détruit, pourtant ce sont des cachets qui se mélangent et se confondent dans un même panier… je suis qu’une structure, un corps sans composants, je suis une bombe sans détonateur, une bombe qui ne s’allume jamais… Nan je suis… Je suis sur la cuvette d’un chiotte et ce que je suis ne compte pas car à cet instant précis, « je ne suis pas » à cet instant précis : j’ai l’impression de n’avoir jamais été… je suis ( du verbe suivre ) comme j’ai toujours suivi, mais je n'ai jamais été...

© by tOrkA

Une poeme fait il y a un bon moment... de l'eau a couler sous les ponts depuis.


l'etoile de mes nuits s'est eteinte
sans un mot, une derniere etreinte
tu es partie si vite, si loin, sans moi
j'aurai aime t'embrasser une derniere fois

ton sourire, tes larmes, tes caresses
tout ca en un soir s'en est aller
me laissant seul avec ma detresse
en une nuit, tout s'est effrondrer

l'amour fait mal, il fait souffrir
tant de fois j'ai penser a mourir
pour te rejoindre, te retrouver
et de toi, ne plus etre separer

ce temps n'est pas encore arriver
je garde ma peine, continue d'avancer
mes larmes ont peut etre cesser de couler
mais a jamais je continuerai a t'aimer

c mimi^^

Beau poème vais pleuré^^

amour kan tu ns tiens

Le ciel est rouge à craquer,
La terre est triste à pleurer,
Mon cœur aride de regrets,
Et moi, je meurs de t’aimer.

La plaine est calme et sereine,
La douceur du temps comme une reine,
Couve les ombres de la nuit qui s’imprègnent,
De ce merveilleux décor qui y règne.

Ton âme chavire à souhaits,
Elle voudrait tant pouvoir espérer,
Mais ton regard tellement attristé,
Confirme bien tous ces regrets.

Alors doucement sans pleurer,
Mon cœur maudit cet "après"
Qui fera de demain à jamais,
La fin d’une vie, un passé.

Joue contre joue, nous nous aimions,
Dos à dos, nous partirons,
Sur les sentiers de cette destinée,
Qui n’a pas su nous rapprocher.

by tOrkA pOur Maud.

C'est beau

[...] A terre, abattue par le néant, scandale d'une violence sans geste, d'un mouvement d'incondition. Les apparences nous défont.
Autour de cette brisure de verre, que j'ai créé par diversion, gravite la transparence elle-même et ce flingue à blanc.
Dispersent mon âme et son enveloppe, le corps reduit à sa pensée, quand votre adversaire n'est pas, la raison s'assasine par isolement et ses implants dans mes vertèbres, ma liberté n'est qu'un choix de soumission ?
La lucidité a obscurcit la lumière, quand la nature de l'homme est d'être artificiel. Infime éternité du mortel; infime réalité de l'illusion. Le seul vrai désir est son auto-destruction, l'homme est un pion qui se créé des sentiments pour vivre, être conscient qu'au fond il n'est pas.. et que quand il sera il n'aura plus besoin d'être. La liberté est le choix de mourir ou de ne plus vivre. Les frustrations nous écrase, mémoire de ce qu'on aurait voulu être... ou ne pas être ... il aurait fallu exister [...]

© by tOrkA